Titre : |
L'esprit du haïku |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Torahiko Terada (1878-1935), Auteur ; Olivier Birmann (1949-), Traducteur ; Hiroki Tôura, Traducteur |
Editeur : |
Arles : Éditions Philippe Picquier |
Année de publication : |
2018 |
Collection : |
Picquier poche (Arles), ISSN 1251-6007 |
Importance : |
89 p. |
Présentation : |
couv. ill en coul. |
Format : |
17 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8097-1361-9 |
Prix : |
6 EUR |
Note générale : |
Suivi de : "Retour sur les années avec le maître Sôseki"
Titre original:「随筆集」 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Japonais (jpn) |
Mots-clés : |
Natsume, Sōseki (1867-1916)
Haïkus |
Résumé : |
« Sôseki m'a appris toutes sortes de choses. Et pas seulement l'art d'écrire des haïkus, mais aussi à découvrir de mes propres yeux les beautés de la nature, ou encore à distinguer ce qui est vrai de ce qui est faux chez un être humain, à aimer ce qui est vrai et haïr ce qui est faux.» Terada Torahiko fait dialoguer la poésie occidentale et le haïku japonais, en évaluant ce que ce poème bref a d'unique: un allègement du réel, une liberté de l'esprit, une union organique avec la nature. Puis il fait revivre pour nous la figure de celui qu'il appelle «le maître» et qu'il a côtoyé pendant nombre d'années en de «joyeuses réunions», un portrait spontané, vivant, plein d'humour, de l'écrivain et du poète Sôseki «vêtu d'un surtout noir, assis bien droit et très digne sur ses jambes repliées ». |
L'esprit du haïku [texte imprimé] / Torahiko Terada (1878-1935), Auteur ; Olivier Birmann (1949-), Traducteur ; Hiroki Tôura, Traducteur . - Arles : Éditions Philippe Picquier, 2018 . - 89 p. : couv. ill en coul. ; 17 cm. - ( Picquier poche (Arles), ISSN 1251-6007) . ISBN : 978-2-8097-1361-9 : 6 EUR Suivi de : "Retour sur les années avec le maître Sôseki"
Titre original:「随筆集」 Langues : Français ( fre) Langues originales : Japonais ( jpn)
Mots-clés : |
Natsume, Sōseki (1867-1916)
Haïkus |
Résumé : |
« Sôseki m'a appris toutes sortes de choses. Et pas seulement l'art d'écrire des haïkus, mais aussi à découvrir de mes propres yeux les beautés de la nature, ou encore à distinguer ce qui est vrai de ce qui est faux chez un être humain, à aimer ce qui est vrai et haïr ce qui est faux.» Terada Torahiko fait dialoguer la poésie occidentale et le haïku japonais, en évaluant ce que ce poème bref a d'unique: un allègement du réel, une liberté de l'esprit, une union organique avec la nature. Puis il fait revivre pour nous la figure de celui qu'il appelle «le maître» et qu'il a côtoyé pendant nombre d'années en de «joyeuses réunions», un portrait spontané, vivant, plein d'humour, de l'écrivain et du poète Sôseki «vêtu d'un surtout noir, assis bien droit et très digne sur ses jambes repliées ». |
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