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Caeruleum / Alban Mannisi
Titre : Caeruleum Titre original : Fête de la francophonie 2008 Type de document : texte imprimé Auteurs : Alban Mannisi (1976-....), Illustrateur ; Yves Millet (1967-....), Auteur ; Haeyoung Jeong, Traducteur Editeur : Paris : Atelier des cahiers Année de publication : impr. 2008 Collection : Collection Essai Importance : 94 p. Présentation : nombreuses ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 21 x 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9529286-1-8 Prix : Prix : 15 EUR : 15000 KRW Note générale : Texte français et trad. coréenne à la suite
Publ. à l'occasion de la Fête de la francophonie 2008Langues : Français (fre) Coréen (kor) Langues originales : Français (fre) Catégories : Noms géographiques:Corée (République) -- photographies Index. décimale : 779.365 Mention de resp. / 責任表示 : photographies, Mannisi Alban
texte, Millet Yves
traduction [en coréen], Jeong HaeyoungCaeruleum = Fête de la francophonie 2008 [texte imprimé] / Alban Mannisi (1976-....), Illustrateur ; Yves Millet (1967-....), Auteur ; Haeyoung Jeong, Traducteur . - Paris : Atelier des cahiers, impr. 2008 . - 94 p. : nombreuses ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 x 22 cm. - (Collection Essai) .
ISBN : 978-2-9529286-1-8 : Prix : 15 EUR : 15000 KRW
Texte français et trad. coréenne à la suite
Publ. à l'occasion de la Fête de la francophonie 2008
Langues : Français (fre) Coréen (kor) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Noms géographiques:Corée (République) -- photographies Index. décimale : 779.365 Mention de resp. / 責任表示 : photographies, Mannisi Alban
texte, Millet Yves
traduction [en coréen], Jeong HaeyoungExemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut et disponibilité 89134881 K779.45 MAN Livre @MFJ Fonds général Empruntable
DisponibleCiné-voyage en Corée du Nord / Antoine Coppola
Titre : Ciné-voyage en Corée du Nord : L'expérience du film "Moranbong" Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Coppola, Auteur Editeur : Paris : Atelier des cahiers Année de publication : DL 2012, impr. 2012 Collection : Collection Essais Importance : 187 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9529286-9-4 Prix : 18 EUR Langues : Français (fre) Ciné-voyage en Corée du Nord : L'expérience du film "Moranbong" [texte imprimé] / Antoine Coppola, Auteur . - Paris : Atelier des cahiers, DL 2012, impr. 2012 . - 187 p. : ill., couv. ill. ; 24 cm. - (Collection Essais) .
ISBN : 978-2-9529286-9-4 : 18 EUR
Langues : Français (fre)Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut et disponibilité 89140880 K 791.4 COP Livre @MFJ Fonds Japon et Asie Empruntable
DisponibleCroisements
[périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique
Titre : Croisements Titre original : Revue francophone de sciences humaines d'Asie de l'Est Type de document : texte imprimé Editeur : Paris : Atelier des cahiers Année de publication : 2011 ISBN/ISSN/EAN : 2110-6142 Langues : Français (fre) [périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique Croisements = Revue francophone de sciences humaines d'Asie de l'Est [texte imprimé] . - Paris : Atelier des cahiers, 2011.
ISSN : 2110-6142
Langues : Français (fre)A l'occasion des rives / Yves Millet
Titre : A l'occasion des rives : essai sur les modalités du sensible Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Millet (1967-....), Auteur Editeur : Paris : Atelier des cahiers Année de publication : 2014 Collection : Collection Essai Importance : 120 p. Présentation : photo.couv. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-91555-12-8 Prix : 15 EUR Langues : Français (fre) Résumé : Cet essai regroupe un ensemble d’analyses se rapportant à différents pays d’Asie de l’Est. Dans un dialogue avec des philosophes tels que Gilles Deleuze, Gilbert Simondon ou John Dewey, l’auteur propose une lecture modale de l’expérience du sensible propre à des objets ou des usages se situant entre art et vie quotidienne ; cas de figure ou situations où rien n’opère plus aisément et où il devient nécessaire de patiemment reconstruire un regard pour goûter aux singularités esthétiques qui nous entourent.
Note de contenu : Sommaire détaillé
Avant-propos
I - OUVERTURE
Un embarras philosophique
Donne à l’ensemble des considérations d’ordre esthétique suivantes un cadre plus général, qui est celui de savoir comment échapper à cette forme d’embarras qui caractérise régulièrement l’appréhension des pensées philosophiques traditionnelles d’Asie de l’Est par les penseurs et philosophes occidentaux. Il ne s’agit nullement de jeter les bases d’un procès mais de repérer dans un premier temps la nature et les conditions, les arguments et motivations sous-jacents majeurs qui justifient une telle distance prudente, que nous nommons embarras. Dans un deuxième temps, nous tenterons de dépasser les conditions de cet embarras en montrant qu’il n’a pas lieu d’être si nous acceptons de reconsidérer ce qu’il recouvre, à savoir la représentation que nous nous donnons de l’exercice de la pensée.
II - PRISME
Modulations & ornements
Vouloir penser la diversité en esthétique oblige non seulement à penser la diversité des cultures mais nous oblige également à penser la diversité des paradigmes en usage. Montrer en quoi la musique modale entre singulièrement en résonance avec la philosophie de la différence deleuzienne exposée notamment dans Différence et répétition (1968), philosophie qui a pour fondements l’intensité et la pluralité au détriment de la représentation et de l’identité, ouvre pour la musique modale en particulier et la philosophie de l’art en général des perspectives non négligeables. La musique modale – dont l’Asie reste un des dépositaires privilégiés – nous paraît tout autant que la musique sérielle être un modèle pertinent pour illustrer les rapports entre les logiques différentielle et modale. Par conséquent, la musique modale n’est pas dissociable d’un certain mode d’appréhension du monde.
III - VARIATIONS
Suseok & ready-made
Entreprend une mise en parallèle du Suseok ou pierre évocatrice (水 石 – Suiseki en japonais) et du Ready-made duchampien afin de mettre en lumière, dans le même temps, ce qui les différencie et ce qui les rapproche. Nous constaterons ainsi que ces deux objets partagent trois caractéristiques : ils sont relatifs à une sélection plus ou moins arbitraire, ils existent en tant qu’objet artistique du seul fait d’un déplacement (conforté par ce que nous nommons les signes extérieurs de l’art, c’est-à-dire le contexte et la manière dont ils sont présentés) et, enfin, ce déplacement est réversible.
Cette confrontation symétrique nous oblige par conséquent à reprendre la question de l’œuvre d’art, celle de sa possible définition. Non au regard du résultat final et de son éventuelle classification dans un genre spécifique (perspective propre à l’esthétique) mais au regard de son processus même d’élaboration (perspective propre à la philosophie de l’art). En d’autres termes, il ne faudrait plus tant se poser la question « qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? » mais comment un objet donné peut devenir le support d’une expérience esthétique ? Grâce à cette mise en parallèle, nous passons ainsi de l’analyse prédicative d’un objet dit d’art à l’analyse de pratiques hybrides, lieu de rencontre d’une intention artistique et d’un regard, celui toujours renouvelé du spectateur.
Du concret. Le cas Gutai.
Dans le but de fournir quelques outils d’analyse de la performance artistique, nous avons choisi de reconsidérer sous l’angle de l’hylémorphisme les réalisations du groupe japonais Gutai. Ceci parce que 1°) la performance artistique est une remise en cause radicale du schéma classique de la création ayant pour principal fondement l’opération de mise en forme d’une matière donnée ; 2°) parce que les propositions de Gutai contiennent en germe un très grand nombre de propositions artistiques qui prendront place des années 60 jusqu’à aujourd’hui et 3°) parce que considérer ce groupe artistique initiateur de l’art de la performance permet d’établir une distance autrement éclairante vis-à-vis des catégories esthétiques dont nous héritons.
Rythme & intensité
L’esthétique du quotidien est souvent considérée comme une sous-catégorie de l’esthétique de l’art. Ceci est une conséquence de l’utilisation de l’art, et plus précisément des arts visuels en tant que référence privilégiée. Pour qualifier l’expérience sensible du quotidien, il nous paraît cependant plus pertinent d’employer des modèles qui se réfèrent au rythme et à l’intensité, tels que l’ornement, la poésie ou la musique. Un tel déplacement offre l’opportunité de repenser un certain nombre d’expériences communes dont l’identité qualitative peut se retrouver dans une plus subtile mais non moins significative dimension de nos vies. Afin de rendre l’analyse plus concrète, nous nous limiterons à des exemples connus de la culture du Japon où l’idée même de cette réflexion est née. En conclusion, nous argumenterons en faveur d’un ethos sans objet pensé comme voie par laquelle approcher sinon qualifier l’expérience de la beauté quotidienne.
Épilogue
Notes
A l'occasion des rives : essai sur les modalités du sensible [texte imprimé] / Yves Millet (1967-....), Auteur . - Paris : Atelier des cahiers, 2014 . - 120 p. : photo.couv. ; 21 cm. - (Collection Essai) .
ISBN : 979-10-91555-12-8 : 15 EUR
Langues : Français (fre)
Résumé : Cet essai regroupe un ensemble d’analyses se rapportant à différents pays d’Asie de l’Est. Dans un dialogue avec des philosophes tels que Gilles Deleuze, Gilbert Simondon ou John Dewey, l’auteur propose une lecture modale de l’expérience du sensible propre à des objets ou des usages se situant entre art et vie quotidienne ; cas de figure ou situations où rien n’opère plus aisément et où il devient nécessaire de patiemment reconstruire un regard pour goûter aux singularités esthétiques qui nous entourent.
Note de contenu : Sommaire détaillé
Avant-propos
I - OUVERTURE
Un embarras philosophique
Donne à l’ensemble des considérations d’ordre esthétique suivantes un cadre plus général, qui est celui de savoir comment échapper à cette forme d’embarras qui caractérise régulièrement l’appréhension des pensées philosophiques traditionnelles d’Asie de l’Est par les penseurs et philosophes occidentaux. Il ne s’agit nullement de jeter les bases d’un procès mais de repérer dans un premier temps la nature et les conditions, les arguments et motivations sous-jacents majeurs qui justifient une telle distance prudente, que nous nommons embarras. Dans un deuxième temps, nous tenterons de dépasser les conditions de cet embarras en montrant qu’il n’a pas lieu d’être si nous acceptons de reconsidérer ce qu’il recouvre, à savoir la représentation que nous nous donnons de l’exercice de la pensée.
II - PRISME
Modulations & ornements
Vouloir penser la diversité en esthétique oblige non seulement à penser la diversité des cultures mais nous oblige également à penser la diversité des paradigmes en usage. Montrer en quoi la musique modale entre singulièrement en résonance avec la philosophie de la différence deleuzienne exposée notamment dans Différence et répétition (1968), philosophie qui a pour fondements l’intensité et la pluralité au détriment de la représentation et de l’identité, ouvre pour la musique modale en particulier et la philosophie de l’art en général des perspectives non négligeables. La musique modale – dont l’Asie reste un des dépositaires privilégiés – nous paraît tout autant que la musique sérielle être un modèle pertinent pour illustrer les rapports entre les logiques différentielle et modale. Par conséquent, la musique modale n’est pas dissociable d’un certain mode d’appréhension du monde.
III - VARIATIONS
Suseok & ready-made
Entreprend une mise en parallèle du Suseok ou pierre évocatrice (水 石 – Suiseki en japonais) et du Ready-made duchampien afin de mettre en lumière, dans le même temps, ce qui les différencie et ce qui les rapproche. Nous constaterons ainsi que ces deux objets partagent trois caractéristiques : ils sont relatifs à une sélection plus ou moins arbitraire, ils existent en tant qu’objet artistique du seul fait d’un déplacement (conforté par ce que nous nommons les signes extérieurs de l’art, c’est-à-dire le contexte et la manière dont ils sont présentés) et, enfin, ce déplacement est réversible.
Cette confrontation symétrique nous oblige par conséquent à reprendre la question de l’œuvre d’art, celle de sa possible définition. Non au regard du résultat final et de son éventuelle classification dans un genre spécifique (perspective propre à l’esthétique) mais au regard de son processus même d’élaboration (perspective propre à la philosophie de l’art). En d’autres termes, il ne faudrait plus tant se poser la question « qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? » mais comment un objet donné peut devenir le support d’une expérience esthétique ? Grâce à cette mise en parallèle, nous passons ainsi de l’analyse prédicative d’un objet dit d’art à l’analyse de pratiques hybrides, lieu de rencontre d’une intention artistique et d’un regard, celui toujours renouvelé du spectateur.
Du concret. Le cas Gutai.
Dans le but de fournir quelques outils d’analyse de la performance artistique, nous avons choisi de reconsidérer sous l’angle de l’hylémorphisme les réalisations du groupe japonais Gutai. Ceci parce que 1°) la performance artistique est une remise en cause radicale du schéma classique de la création ayant pour principal fondement l’opération de mise en forme d’une matière donnée ; 2°) parce que les propositions de Gutai contiennent en germe un très grand nombre de propositions artistiques qui prendront place des années 60 jusqu’à aujourd’hui et 3°) parce que considérer ce groupe artistique initiateur de l’art de la performance permet d’établir une distance autrement éclairante vis-à-vis des catégories esthétiques dont nous héritons.
Rythme & intensité
L’esthétique du quotidien est souvent considérée comme une sous-catégorie de l’esthétique de l’art. Ceci est une conséquence de l’utilisation de l’art, et plus précisément des arts visuels en tant que référence privilégiée. Pour qualifier l’expérience sensible du quotidien, il nous paraît cependant plus pertinent d’employer des modèles qui se réfèrent au rythme et à l’intensité, tels que l’ornement, la poésie ou la musique. Un tel déplacement offre l’opportunité de repenser un certain nombre d’expériences communes dont l’identité qualitative peut se retrouver dans une plus subtile mais non moins significative dimension de nos vies. Afin de rendre l’analyse plus concrète, nous nous limiterons à des exemples connus de la culture du Japon où l’idée même de cette réflexion est née. En conclusion, nous argumenterons en faveur d’un ethos sans objet pensé comme voie par laquelle approcher sinon qualifier l’expérience de la beauté quotidienne.
Épilogue
Notes
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut et disponibilité 89151980 A 181 MIL Livre @MFJ Fonds Japon et Asie Empruntable
DisponibleVivre ailleurs, France-Corée / Benjamin Joinau
Titre : Vivre ailleurs, France-Corée : les Cahiers de Corée Type de document : texte imprimé Auteurs : Benjamin Joinau, Directeur de publication ; Yves Millet (1967-....), Directeur de publication Editeur : Paris : Atelier des cahiers Année de publication : 2016 Importance : 262 p. Présentation : ill. en coul. Format : 26 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-91555-21-0 Note générale : Premier volume anniversaire : 10 ans de l'Atelier des Cahiers 2006-2016 Langues : Français (fre) Vivre ailleurs, France-Corée : les Cahiers de Corée [texte imprimé] / Benjamin Joinau, Directeur de publication ; Yves Millet (1967-....), Directeur de publication . - Paris : Atelier des cahiers, 2016 . - 262 p. : ill. en coul. ; 26 cm.
ISBN : 979-10-91555-21-0
Premier volume anniversaire : 10 ans de l'Atelier des Cahiers 2006-2016
Langues : Français (fre)Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut et disponibilité 89158662 K 306 Viv Livre @MFJ Fonds Japon et Asie Empruntable
Disponible